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samedi 16 janvier 2010




Mosaïques du musée gallo-romain de Lyon –
A gauche, celle des poissons (symbole chrétien). A droite, la lutte entre Amour et Pan.
Jean Baptiste était un homme de petite taille, cela tout le monde le sait, mais ce qu'on ignore, c'est qu'il avait une tête énorme. Revoyons donc le contexte de l'époque qui conduit à la réalité de sa mort et à cette morphologie étrange qui déjà en palestine le fait prendre pour un plusqu'homme, autrement dit un dieu.
Ponce Pilate (en latin Pontius Pilatus « Pilatus — titulaire d'un javelot d'honneur (du latin pilum) »), né vers 10 av. J.-C. à Lugdunum (Lyon)[1], était préfet (procurateur selon Flavius Josèphe) de la province romaine de Judée au Ier siècle (de 26 à 36). Il fut renvoyé à Rome et mourut vers 39 apr. J.-C. en exil à Vienne (Gaule) NDLR -mort après 48 car il est le magistrat désigné qui ordonne la décapitation de Jean Baptiste, chef de la colonie juive qui tient Lugdunum. Il est connu pour avoir, selon le Nouveau Testament, ordonné la crucifixion de Jésus. Une inscription trouvée à Césarée en 1961[2] ainsi que les textes de Flavius Josèphe (Guerre des Juifs, livre II, IX.2-4) attestent de son existence.
Claude (1er août 10 av. J.-C à Lugdunum (Lyon). – 13 octobre 54) est le quatrième empereur romain, qui régna de 41 à 54 apr. J.-C.. Né en 10 av. J.-C., fils de Drusus et Antonia Minor fille de Marc Antoine et d'Octavie sœur d' Auguste, il était le frère de Germanicus, il succède à Caligula en 41 en devenant le quatrième empereur de la dynastie julio-claudienne alors qu'il a déjà une cinquantaine d'années. Né à Lugdunum (Lyon), en Gaule, il fut le premier empereur né hors d'Italie. Il apparaissait peu probable que Claude devienne empereur : il était bègue et sa famille l'avait jugé incapable d'exercer une fonction publique jusqu'à ce qu'il devienne consul de son neveu Caligula en 37. Son infirmité l'a cependant peut-être sauvé des purges dans les familles nobles romaines qui eurent lieu durant les règnes de ses deux prédécesseurs, lui permettant de se trouver en position d'être nommé empereur après l'assassinat de Caligula : il était alors le dernier homme de sa famille. Il accéda au pouvoir en comblant de cadeaux (donativa) les cohortes prétoriennes, inaugurant ainsi un malheureux usage. Malgré son manque d'expérience politique, Claude se montre un administrateur capable et un grand bâtisseur public. Son règne voit l'Empire s'agrandir : cinq provinces s'ajoutent à l'Empire dont la Bretagne, en 43, (où il se rend pour obtenir les triomphes, se voyant ainsi décerner le surnom de Britannicus, ainsi qu'à son fils), la Lycie, la Mauritanie, la Norique et la Thrace. Il s'intéresse personnellement aux affaires publiques, se penchant sur les lois et présidant les procès publics. Il va jusqu'à publier vingt édits par jour. Il étend la citoyenneté romaine à des nombreuses cités dans les provinces, notamment en Gaule où il était né. Sensible aux demandes des notables gaulois, il obtient en 48 du Sénat (après la prise et décapitation de Jean-Baptiste) que ceux-ci puissent accéder aux magistratures publiques de Rome et donc au Sénat romain. Reconnaissants, les délégués des nations gauloises firent graver son discours sur les Tables Claudiennes, plaques de bronze placées dans le sanctuaire fédéral de Lugdunum, retrouvées et exposées au Musée gallo-romain de Fourvière à Lyon. En 47, il fête les Jeux séculaires, selon la nouvelle date établie par Varron pour la fondation de Rome. Cependant tout au long de son règne il est perçu comme vulnérable par la noblesse romaine. Il est ainsi poussé à chercher en permanence à consolider son pouvoir, aux dépens des sénateurs en particulier. En 49, il bannit les juifs de Rome pour prosélytisme actif. Dans sa vie personnelle, il connaît de nombreuses épreuves et son dernier mariage le mène à la mort. Il épouse en premières noces Plautia Urgulanilla, dont il a un fils, mort en bas âge, et une fille qu'il fait exposer, la soupçonnant d'être le fruit d'un adultère. Il se marie ensuite à Ælia Pætina dont il a une fille, Antonia. Il s'allie ensuite à Messaline dont il a deux enfants, Octavie (née en 40, future épouse de Néron) et Britannicus (né en 41), qui fut éclipsé puis empoisonné par Néron ; en quatrièmes noces, il épouse sa propre nièce Agrippine la Jeune. Il meurt empoisonné à l'instigation d'Agrippine en 54, après avoir, sur les conseils de celle-ci, adopté son fils Néron et fait passer celui-ci devant son fils pour la succession, en le mariant à sa propre fille Octavie. Ces événements le font mépriser par les anciens auteurs. Les historiens les plus récents tendent à tempérer leur opinion.
Giovanni Francesco Barbieri, dit Guercino ou le Guerchin[1], né à Cento le 8 février 1591 et mort à Bologne le 9 décembre 1666, est un peintre italien baroque de l'école de Ferrare, actif à Rome et Bologne. Un de ses tableaux, dont on évite de parler représente un crâne énorme posé sur une colonne (en réalité un cippé à ascia conservé au musée gallo-romain de Lyon dont le texte commence par « Et Valéo Sévère » et daté de 47. Cette colonne (funéraire) est elle même placée à même le sol près dun mur antique qu'un lyonnais attentif identifiera comme celui de l'odéon sis à gauche du théâtre romain. Guerchin a réalisé cette toile au retour d'un séjour à Rome. Initié à Rome sur la réalité de la mort de Jean Baptiste ? Toujours est-il que la taille du crâne qu'il peint correspond bien à celle d'un fils de Néphilim ! Dans les années 50, un bruit courrait autour de la méditerranée : LE GRAND PAN EST MORT